Jean Viens was born on January 8, 1929 in Montreal and died on October 3,
2012. Coming from a family of five children, he is the
son of a musician father and an artist mother who
devoted himself to the art of drawing and painting.
During his career as a painter, he painted landscapes,
scenes but also portraits. Not only did he have a
workshop in Montreal which included fifteen or so
painters, he influenced some well-known artists from
Quebec including Lise Auger, André Bertuanesque
Langevin, Lionnel Laurenceau, Hervey Le Breton, Denise
Dion but also transferred to inherit the art of painting
to his two daughters.
It is in a path traced since
his birth that Jean Viens will sign the work of a
lifetime. Coming from a family of five children and
influenced by his mother, herself an artist, that the
young man was initiated at a young age to the art of
sketching. In elementary school you notice his talent.
In competitions, he wins first place. From secondary
school, at Notre-Dame College, the young artist devoted
himself to the art of portraiture with a style and depth
characteristic of the era of the great masters of the
Middle Ages and the Renaissance. At seventeen, he headed
for the Montreal School of Fine Arts.
During his stay
at the school of fine arts during the forties, he will
apply a free style to his techniques and his art. It was
his meeting with artists like Iacurto, Narcisse Poirier
and Léo Ayotte that had a definite influence on his
works. The latter having attended the workshop located a
few doors from his parents. Around the age of twenty, in
1949, he entered a portrait competition in Montreal
where he would paint a portrait of Minister Paul Sauvé.
This oil on canvas won him the first prize. This award,
a grant from the Government of Quebec to perfect his art
in Europe at the Montmartre Academy in France. He
declined the offer to give the scholarship to his friend
Normand Hudon, a cartoonist who finished second in this
competition. He therefore made the decision to marry
Denise Biron, with whom he will have three children. In
1965, then aged thirty-five, at the request of the
Canadian government, he represented the latter in Los
Angeles where he exhibited his works. His works have won
recognition in Europe. A magnificent work is preserved
in Italy in the cathedral of Padre Pio.
Recognized
for his religious works, he was later reluctant to go
and exhibit in France. Father of three children, he
devoted himself to his art gallery on rue Jean Talon in
Montreal, where with around fifteen young artists, they
met the demand for commercial works.
Jean Viens
est né le 8 janvier 1929 à Montréal et est décédé le 3
octobre 2012. Venant d'une famille de cinq enfants, il
est le fils d'un père musicien et d'une mère artiste qui
s'est consacrée à l'art du dessin et de la peinture. Au
cours de sa carrière de peintre, il a peint des
paysages, des scènes mais aussi des portraits. Non
seulement il avait un atelier à Montréal qui comprenait
une quinzaine de peintres, mais il a influencé certains
artistes bien connus du Québec, notamment Lise Auger,
André Bertuanesque Langevin, Lionnel Laurenneau, Hervey
Le Breton, Denise Dion, mais également transféré pour
hériter de l'art de l'art de peindre à ses deux filles.
C'est dans un chemin tracé depuis sa naissance que Jean
Viens signera le travail d'une vie. Venant d'une famille
de cinq enfants et influencée par sa mère, elle-même
artiste, que le jeune homme a été initié à un jeune âge
à l'art de l'esquisse. À l'école primaire, vous
remarquez son talent. Dans les compétitions, il remporte
la première place. De l'école secondaire, au Notre-Dame
College, le jeune artiste s'est consacré à l'art du
portrait avec un style et une profondeur
caractéristiques de l'ère des grands maîtres du Moyen
Âge et de la Renaissance. À dix-sept ans, il s'est
dirigé vers l'école des beaux-arts de Montréal.
Pendant son séjour à l'école des beaux-arts pendant les
années quarante, il appliquera un style gratuit à ses
techniques et à son art. C'est sa rencontre avec des
artistes comme Iacurto, Narcisse Poirier et Léo Ayotte
qui ont eu une influence définitive sur ses œuvres. Ce
dernier ayant assisté à l'atelier a localisé quelques
portes de ses parents. Vers l'âge de vingt ans, en 1949,
il a participé à un concours de portraits à Montréal où
il brossait un portrait du ministre Paul Sauvé. Cette
huile sur toile lui a valu le premier prix. Ce prix, une
subvention du gouvernement du Québec de perfectionner
son art en Europe à l'Académie de Montmartre en France.
Il a refusé l'offre de donner la bourse à son ami
Normand Hudon, un dessinateur qui a terminé deuxième de
ce concours. Il a donc pris la décision d'épouser Denise
Biron, avec qui il aura trois enfants. En 1965, alors
âgé de trente-cinq ans, à la demande du gouvernement
canadien, il a représenté ce dernier à Los Angeles où il
a exposé ses œuvres. Ses œuvres ont été reconnus en
Europe. Un magnifique travail est conservé en Italie
dans la cathédrale de Padre Pio.
Reconnu pour ses œuvres religieuses, il a ensuite été
réticent à aller exposer en France. Père de trois
enfants, il s'est consacré à sa galerie d'art sur la rue
Jean Talon à Montréal, où avec une quinzaine de jeunes
artistes, ils ont répondu à la demande d'œuvres
commerciales.
Dictionnaire
des artistes de l’objet d’art au Québec.
(Https://artistesduquebec.ca/) Viens, Jean
(1929-2012) Formation académique École des
Beaux-Arts de Montréal Monographies de Roussan, Le
NU… p. 3
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