Go to Page: 7 (Seven). . .
Item
1648
Artist
Jean-François Millet
Origine
France
Description

Les glaneuses - The Gleaners

Condition*
Beautiful condition -
Measurements
Oil on canvas - 22x16 inch - Frame  30x24 inch - gold-beige wood
Photography
Provided by Antique, collectibles & Vintage Interchange
Location
Montréal, Canada
Valued

Original Art including Frame*: Suggested Price: $150.00 CA. (*Estimated replacement price of original frame: $45.00 CA)   

Shipping rates & taxes if applicable
Information
News Letter Request
Seller's registration
 
rollins history
     Jean-François Millet  (1814-1875) :

Jean-François Millet (French): October 4, 1814 – January 20, 1875) was a French artist and one of the founders of the Barbizon school in rural France. Millet is noted for his paintings of peasant farmers and can be categorized as part of the Realism art movement. Toward the end of his career he became increasingly interested in painting pure landscapes. He is known best for his oil paintings but is also noted for his pastels, conte crayon drawings, and etchings.

rollins history

The Gleaners, 1857. Musée d'Orsay, Paris.

This is one of the most well known of Millet's paintings, The Gleaners (1857). While Millet was walking the fields around Barbizon, one theme returned to his pencil and brush for seven years—gleaning—the centuries-old right of poor women and children to remove the bits of grain left in the fields following the harvest. He found the theme an eternal one, linked to stories from the Old Testament. In 1857, he submitted the painting The Gleaners to the Salon to an unenthusiastic, even hostile, public.

(Earlier versions include a vertical composition painted in 1854, an etching of 1855–56 which directly presaged the horizontal format of the painting now in the Musée d'Orsay.[16])

A warm golden light suggests something sacred and eternal in this daily scene where the struggle to survive takes place. During his years of preparatory studies, Millet contemplated how best to convey the sense of repetition and fatigue in the peasants' daily lives. Lines traced over each woman's back lead to the ground and then back up in a repetitive motion identical to their unending, backbreaking labor. Along the horizon, the setting sun silhouettes the farm with its abundant stacks of grain, in contrast to the large shadowy figures in the foreground. The dark homespun dresses of the gleaners cut robust forms against the golden field, giving each woman a noble, monumental strength.

Jean-François Millet, né le 4 octobre 1814 au hameau de Gruchy et mort le 20 janvier 1875 à Barbizon, est un artiste-peintre réaliste, pastellistegraveur et dessinateur français du xixe siècle, l’un des fondateurs de l’école de Barbizon. Il est célèbre notamment pour ses scènes champêtres et paysannes réalistes.

Jean-François Millet est le fils de Jean Louis Nicolas Millet (originaire de Saint-Germain-le-Gaillard) et de Aimée Henriette Adélaïde Henry. Il est né à Gruchy, hameau de Gréville-Hague, commune intégrée à la commune nouvelle française de La Hague depuis le 1er janvier 2017. Aîné d'une famille nombreuse de paysans, berger dans son enfance et plus tard laboureur, il est élevé dans un milieu éclairé. Notamment grâce à son oncle, curé lettré1, il lit la Bible, mais aussi MontaigneLa FontaineHomère et VirgileShakespeareMiltonChateaubriand et Victor Hugo2.

Il travaille à la ferme familiale jusqu'en 1834, puis, doué en dessin, il est envoyé à Cherbourg par son père, grâce à des relations dans la bourgeoisie locale, pour apprendre le métier de peintre auprès de Paul Dumouchel et de Théophile Langlois de Chèvreville3. À cette époque, s'ouvre le musée Thomas-Henry, et Millet s'y exerce en copiant les toiles de maîtres et s'initie aux maîtres hollandais et espagnols.

Le conseil municipal de Cherbourg et le conseil général de la Manche lui octroient ensuite une pension pour qu'il puisse continuer son apprentissage à Paris. Il s'y installe en 1837 et étudie à l'École des beaux-arts à partir du 27 mars2 dans l'atelier du peintre Paul Delaroche. Deux ans plus tard, il est 18e sur 20 au premier essai pour le prix de Rome. Il perd alors sa bourse et doit quitter les Beaux-Arts.

Il revient à Cherbourg où il vit de la vente de quelques portraits de proches et de bourgeois, ainsi que de peintures érotiques1. Son portrait de l'ancien maire de Cherbourg, le colonel Javain, est refusé par le conseil municipal. Il se marie en 1841 avec Pauline Ono, fille de tailleur, qui meurt 3 ans plus tard d'une tuberculose.

De retour à Paris, il se détourne du modèle officiel à la mode après 1840, et subit l’influence d’Honoré Daumier. Il expose au Salon à partir de 1842. À Cherbourg, il rencontre Catherine Lemaire, ancienne servante, qu'il épouse en 1853. Elle lui donnera neuf enfants. En 1847, son Œdipe détaché de l'arbre par un berger attire l'œil des critiques parisiens.

Au Salon de 1848, il expose Le Vanneur, qu'Alexandre Ledru-Rollin lui achète pour cinq cents francs. C'est la première œuvre inspirée par le travail paysan, veine qu'il développe à partir de 1849 en s'installant à Barbizon avec Charles Jacque pour s’appliquer à peindre beaucoup de scènes rurales souvent poétiques. Là naissent Les Botteleurs (1850), Des Glaneuses (1857), L'Angélus (1859), La Tondeuse de moutons (1861) et La Bergère (1864), des peintures qu'il classe dans l'influence du courant réaliste, glorifiant l'esthétique de la paysannerie. Un rapide retour dans la Hague en 1854, à la suite du décès de sa mère, lui inspire Le Hameau CousinLa Maison au puitsLe Puits de Gruchy, une première version du Bout du village… En 1860, Jean-François Millet s'inspire de l'œuvre Madame Bovary de Gustave Flaubert pour sa peinture La Leçon de couture[réf. nécessaire].

Peu à peu, il délaisse les seules scènes de travail paysan pour s'intéresser davantage aux ambiances, aux paysages. Alors que les Prussiens envahissent la France, Millet revient avec sa famille à Cherbourg, en 1870 durant un an et demi, avant de retourner à Barbizon. À cette époque, il travaille davantage les jeux de lumière, la pénombre et le clair-obscur, signant un travail annonciateur de l'impressionnisme, à travers les tableaux de L'Église de GrévilleLe Prieuré de Vauville ou du Bateau de pêche, ou même, avec Le Rocher du Castel, proche des recherches de Paul Cézanne.

Il meurt à Barbizon en Seine-et-Marne, le 20 janvier 18754, et est enterré dans le cimetière communal qui, à l'époque, était à Chailly-en-Bière, Barbizon n'étant qu'un hameau de cette commune jusqu'en 1903.

Sa maison à Barbizon est au no 29 de la Grande Rue, il l'occupa de 1849 à 1875. Elle est devenue un musée en 1922.

Ses tableaux, comme Des Glaneuses (1857), dépeignant les plus pauvres des femmes de la campagne se penchant pour glaner les restes d'un champ moissonné, sont une présentation forte de la classe paysanne qui résonne encore à ce jour (Des Glaneuses sont conservées à Paris au musée d'Orsay).

Son Angélus (1858) a été très largement reproduit sur différents objets et supports et copié ou réinterprété par d'autres artistes des xixe et xxe sièclesSalvador Dalí en particulier a été fasciné par ce travail, lui consacrant tout un livre, El Mito Tragico De El Angelus De Millet5. Des variations de ce tableau de Millet apparaissent dans plusieurs de ses propres peintures.

Millet est un peintre réaliste qui a eu une grande influence sur des impressionnistes comme Claude Monet et Camille Pissarro, ainsi que sur Vincent van Gogh, qui a interprété certaines de ses scènes rurales. Son œuvre a également influencé l'autrichien Albin Egger-Lienz.

Sa maison natale, au village de Gruchy dans la commune de Gréville-Hague, a été reconstruite à l’identique et meublée comme une maison paysanne du xixe siècle. On y peut découvrir de nombreuses copies de ses tableaux.


rollins history
Antiques, collectibles & Vintage Interchange
Copyright 2010-13-18- 21 WebTech Management and Publishing Incorporated -All rights reserved . Legal information